C’est de sa terre natale, l’Aveyron, au tout début des années cinquante, qu’elle puise son intérêt pour l’autre malmené par cet environnement aride.
Aînée de quatre filles, captivée par la lecture des romans d’André Soubiran : Les hommes en blanc, c’est grâce à la mutation parisienne de son père qu’elle a eu accès aux études médicales.
Par choix, elle a exercé sa profession auprès d’ un public défavorisé, militant pour la condition des plus fragiles : les femmes et les enfants.
Depuis une dizaine d’années, elle est engagée dans des missions humanitaires à Madagascar.
Passionnée de voyages, sa découverte de l’Inde nourrit son questionnement sur la place de la femme dans le monde.
Aînée de quatre filles, captivée par la lecture des romans d’André Soubiran : Les hommes en blanc, c’est grâce à la mutation parisienne de son père qu’elle a eu accès aux études médicales.
Par choix, elle a exercé sa profession auprès d’ un public défavorisé, militant pour la condition des plus fragiles : les femmes et les enfants.
Depuis une dizaine d’années, elle est engagée dans des missions humanitaires à Madagascar.
Passionnée de voyages, sa découverte de l’Inde nourrit son questionnement sur la place de la femme dans le monde.
- Bonneau Gicquel Jacqueline, Saint-Girons Gaudefroy Chantal
- Dans les missions humanitaires comme dans les voyages il y a ce que l’on constate, ce que l’on devine, ce que l’on entreprend et ce qui nous reste (...)